Arthi vs Rubis : La résistance

  • Hey !


    J'aimerais me lancer dans un nouveau slam pour thème "La résistance".


    Si un arbitre et un adversaire pouvaient se présenter ! :P

    « Avez-vous pitié des humains ? »

    The post was edited 2 times, last by Rubis-Hiroto ().

  • Bonsoir,
    Vu que Pinguins nous a quitté (Elle n'est pas morte vous inquiétez pas), il faudra recherché un autre arbitre.


    Je ne pourrais pas géré ce rang je préfère laissé cela a une personne plus expérimenté. :beer:

  • Salut !


    Désolé pour le temps d'attente que j'ai causé. Le délai et les restrictions d'écriture me conviennent parfaitement.


    Merci à vous ! ^^

    « Avez-vous pitié des humains ? »

  • Bonjour à tous !
    Nos deux auteurs qui se sont donnés pleinement dans leurs textes, viennent de m'envoyer leurs créations. Je rappelle le thème : "La résistance".
    Avant que vous commenciez à voter, je vous rappelle aussi les restrictions qu'ils se sont imposés :
    - Insérer les mots : rouge, corbeau et trempé.
    - Le personnage principal (homme, femme, enfant, animal ou tout ce que tu veux) doit avoir un couvre-chef.
    - Récit au passé.


    Voici sans plus tarder voici les deux textes !



    'alinea' L'intonation des épées, qui s'entrechoquaient sans arrêt, couvraient celle de la pluie battante. Les lames d'acier s'effleurant, les boucliers s'abattant sur le sol, les canons larguant leur bombe, l'agonie de mes troupes ainsi que l'odeur de sang trempé, bien au delà de faire couler en moi l'adrénaline, m'ont apeurée. Mais ce n'était pas le moment. Après tout ce que nous avions déjà traversé, je devais rester forte. « L'issue de la rébellion repose sur mes épaules », me suis-je dit, le sang battant contre mes tempes.
    'alinea'J'ai redressé ma mantille sur la tête. Elle cachait mon visage blafard ainsi que mes longs cheveux humides de mes ennemis indiscrets. Armée de mon épée de jade et de mon bouclier, je passais inaperçue à travers mes soldats au visage endurci. Prudente, je ne déviais néanmoins jamais de la route que j'avais au préalable tracée dans ma tête. J'avais une mission. Précise et capitale. Une tâche qu'on m'avait confiée car j'étais l'arme forgée par l'esprit de la résistance. J'avais provoqué l'étincelle de la révolte. Et je devais le tuer. Le Tyran. Matérialiser ce nom dans ma tête m'a donné un haut-le-cœur. Et pourtant, il ne s'agissait guère de son vrai prénom. Ce n'était qu'une appellation courante chez nous. Diaboliser l'ennemi était la clé de la victoire.
    alineaÇa faisait un moment que je m'étais retrouvée seule, éloignée de mes alliés. Le grognement de la guerre se faisait désormais lointain. Et pourtant, cet endroit empestait la mort. La pluie avait cessé de tomber lorsque je me trouvais dans cette grande salle obscure. Le temps que mes yeux se soient habitués au noir, j'ai aperçu les imposantes colonnes qui étaient en rangée de six. J'ai sursauté. C'était la salle du trône.


    'alinea'« Ah ah, quelle surprise que voici ! »


    'alinea'Cette voix m'a soudainement prise aux tripes. Elle avait un ton sinistre, mort, voire même fantomatique. Et pourtant, celle-ci était d'un froid brûlant. Elle m'évoquait le sifflement d'un serpent. Confuse, j'ai cherché longuement dans l'obscurité d'où ce susurrement avait émané.


    'alinea'« Allons, approche, a pesté une mélodie rauque. Sois poli, présente-toi donc. »


    'alinea'J'ai fait fi de sa remarque. En titubant, ma lame grattait le pavé, ce qui lui a arraché un rire strident. Je n'ai pas bronché. Le trône ne se trouvait plus très loin. Il me faisait à présent face.
    'alinea'A la fois déconcertée et émerveillée, j'ai distingué les contours de sa silhouette à travers la pénombre. De son allure élégante, il s'est déplacé hâtivement dans un cône de lumière projeté par un vitrail. J'ai frotté mes yeux. Il était invraisemblable : son interminable manteau de plumes, noires comme du jais, reflétait chichement l'éclat du jour. Ses cheveux, d'un gris surnaturel, cachaient tous ses traits de visage. Hormis … son œil droit. Il brillait d'un rouge vivace. De loin, on aurait dit un corbeau alerte, les ailes déployées prêtes à saisir sa proie – moi – de plein fouet. J'étais incrédule face à la perfection de ce monstre. Était-ce un humain ?


    'alinea'« A la vue de ton épée, s'est lamenté le Tyran à la mine déconvenue, tu n'es pas venue ici pour te faire recruter. »


    'alinea'Ses propos m'ont embrouillé l'esprit. J'ai alors essayé d'y voir plus clair dans ma tête … La corruption des seigneurs, les exécutions arbitraires contre les citoyens du Royaume, le temple où j'avais trouvé des centaines de personnes défuntes, ou encore ces massacres auxquels j’avais assistés dans les Plaines Sylvestres au nord … Tant de motifs qui m'ont convaincue de son cynisme.
    'alinea'En un clin d’œil, juste en l'instant d'un seul soupir, j'ai chargé en sa direction. Un hurlement bestial a brutalement éraflé les parois de ma gorge. J'ai jeté au loin mon couvre-chef. Pour qu'il se souvienne de cette ultime bataille. Pour qu'il grave à jamais mon visage dans sa conscience.





    Tapie dans le noir, elle devait attendre le moment pour agir, le bon moment pour passer à l’action. Le bandeau rouge déjà déjà vissé sur le crâne, elle n’attendait plus que le signal. Le fameux signal qui allait tout déclencher. Tout ? Non, en fait, ce signal n’allait pas déclencher beaucoup de choses, mais pour elle c’était beaucoup. Pour sa première mission, elle allait enfin pouvoir montrer de quel bois elle se chauffait, montrer sa vigueur et son efficacité. Cet instant tant attendu approchait à grands pas, mais elle ne devait surtout pas commettre d’impaire. Si sa mission n’était pas remplie, c’était toute l’organisation qui allait être mise en branle. Elle ne pouvait pas se le permettre alors elle se remémorait chaque faits et gestes qu’elle allait devoir réaliser.


    Le ballottement à l’arrière du camion n’était en rien apaisant. Chaque seconde lui semblait être des minutes et chaque minute lui semblait être des heures. Ses collègues n’étaient pas loin, mais le silence était de plomb. Il était hors de question de se faire remarquer, de s’offrir à l’ennemi. Une violente secousse manqua de la faire tomber, bien qu’elle soit solidement accrochée dans son coin. Le camion ralentit jusqu’à s’arrêter. Elle espérait alors être arrivée à destination, mais il n’en était rien, il ne s’agissait que d’un STOP. Le véhicule redémarra sur les chapeaux de roues.
    Quelques longues minutes durent passées avant qu’elle puisse enfin sortir de cette cachette, mais en restant toujours dans l’obscurité. Tel un corbeau dans la nuit, nul individu ne pouvait la voir. Elle avançait rapidement sans que personne ne la remarque. L’instant I s’approchait à grands pas.


    Enfin à sa place, seules quelques petites minutes la séparaient de l’accomplissement de sa mission. Elle espérait la réussir au mieux, atteindre l’objectif qui lui était assigné. Un sentiment de peur et d’angoisse l’envahit. Allait-elle être à la hauteur ? Allait-elle réussir à mettre à mal son adversaire ? A le mater comme elle le devait ? Une lumière s’alluma au loin, dessinant de fines lignes sur le sol vert, qui fût jadis trempé par des produits chimiques qui laissaient encore filtrer une légère odeur dans l’esprit de cet être de l’ombre. Un bruit de pas retentit et s’approchait d’elle. La pression augmenta dans son petit corps, elle savait que ce n’était pas n’importe quels pas. Elle allait enfin pouvoir passer à l’action.
    Soudain, un son retentit, celui d’un objet métallique qui vînt déchirer un carton. Le froissement de papiers et de plastiques était le signe que ça allait commencer. Sur les starting-blocks, elle était prête à entrer en scène, et le rideau n’allait pas tarder à se lever.


    Le « clac » d’un loquet qui s’ouvre et le bruit d’un frottement sur la surface derrière laquelle elle se cachait. Une lumière déchira l’obscurité de la planque ! C’était le moment d’agir ! Un puissant courant la traversa mais elle réussit à le bloquer en partie, ne laissant passer que le strict nécessaire. La lumière s’alluma de toutes parts, et sur l’écran de l’ordinateur apparut une pomme. La résistance avait rempli sa mission.



    -------------------------------------------------------------------------------------------------------



    Pour voter, il vous suffit de copier le code suivant dans votre réponse. Je vous rappelle que pour éditer vos votes, vous devez d'abord m'en informer ou informer la maîtresse des lieux : Alena. A vos claviers !


    PHP
    1. [color=#006666]Création n°1 :[/color]
    2. [color=#006666]Note :[/color] [color=#000099]X[/color] [color=#006666]/ 10[/color]
    3. [color=#006666]Commentaire :[/color]
    4. [color=#006666]Création n°2 :[/color]
    5. [color=#006666]Note :[/color] [color=#000099]X[/color] [color=#006666]/ 10[/color]
    6. [color=#006666]Commentaire :[/color]
  • Création n°1 :
    Note : 7 / 10
    Commentaire : Très beau texte dans l'ensemble, on est très vite embarqué dans l'histoire, il y a de jolie figure de style. J'aime beaucoup les histoires fantastiques dans ce genre. Mais je trouve étrange que le personnage découvre comme ça la salle du trône, c'est un peu rapide et elle est même surprise. Alors que plus haut tu précises : "je ne déviais néanmoins jamais de la route que j'avais au préalable tracée dans ma tête", elle savait donc où elle se dirigeait, il faut de la stratégie ! Ensuite la fin m'a un peu déçu, tu jettes ton couvre-chef [tiens tiens, plus de couvre-chef ? Mais ça respecte plus les restrictions alors ? :rolleyes:] pour "qu'il grave à jamais mon visage dans sa conscience" ._. A sa place j'y ferais même pas attention, de plus dans un récit comme celui-ci, le couvre-chef pourrait être un casque et donc une protection, je trouve ça illogique et même stupide de l'enlever juste avant de se battre.


    Création n°2 :
    Note : [color=#006666] 3 / 10

    [color=#006666]Commentaire : Je m'y suis complètement perdu, j'ai du lire ton texte 5 fois pour comprendre qu'il s’agissait du démarrage d'un PC mac [et faut connaitre la référence ...]. Il y a un peu trop de métaphore. Même en ayant compris cela et en relisant l'histoire pour faire ce commentaire, je suis toujours ... [BOUUM] Je viens juste de comprendre ... [10ème lecture] ! Donc en faite, il y a tout le trajet en camion jusqu'à ça destination, puis on ouvre le carton, et ensuite on allume le personnage principal qui est le PC mac ou une résistance (le circuit). Un texte très difficile à lire, il m'a fallu beaucoup de re-lecture pour enfin comprendre tout l’enchaînement des actions, qui est qui, que ce passe t'il ... [et j'ai encore des doutes.]
    Désolé, mais je n'ai vraiment pas apprécier ce texte malgré que l'idée soit sympathique. L'ordinateur n'a malheureusement pas de couvre-chef, ce qui baisse un peu ma note car il s’agissait d'une des restrictions de ce slam.

  • Création n°1 :
    Note : 8.5/ 10
    Commentaire : Pourquoi cette note ? Simplement car c'est le genre d'écrits que j'aime lire et écrire. De plus, j'ai vraiment été emporté par l'histoire, je n'ai pas réussi à décrocher, voulant absolument connaître ce qui allait arriver à notre chère héroïne. Par contre, même raisonnement que mon VDD, pourquoi elle jetterait son couvre-chef (Un casque, sûrement) alors que ça pourrait lui sauver la vie ? :p
    Malheureusement, slam oblige, l'histoire se déroule trop vite à mon goût ; elle est au début "Sous la pluie battante" et ensuite se retrouve dans la salle du trône ? Je dois avouer que ça m'a un peu choqué à la lecture !


    Création n°2 :
    Note : 2.5/ 10
    Commentaire : Un texte trop brouillon, pas assez aéré ce qui en fait un texte très difficile à lire. Aussi, sans le commentaire de TotemDeBois, je n'aurais jamais compris ce texte. Un abus des métaphores complique aussi la lecture et la compréhension du texte ! Pense, à l'avenir, à aérer tes textes et à moins abuser des métaphores !



    "Kimi no... Namae wa?"

  • Bonsoir,
    Pour commencer, merci au deux personnes qui ont donné leurs avis, toutefois je souhaite rebondir sur leurs notes qui je trouve très dure. Je parle bien entendu du 3 et du 2.5. Que le texte ne vous ait pas plus est une chose, que vous ne le trouvez pas à votre goût ou des défauts en est une autre, mais mettre ainsi une note aussi "faible" est une chose que je qualifierai d'irrespect pour l'auteur de ce texte.
    Vous pouvez donner votre avis, et votre ressenti sans pour autant descendre aussi bas.


    Par conséquent, pour les votes à venir, je demanderai aux futurs votants de l'attention au travail effectué par les auteurs. Il y a des personnes derrières ces œuvres, et soyez sûrs que c'est plus que blessant de recevoir une telle note !
    A leurs places, vous seriez tout aussi mal et blesser !


    Je rappelle que si vous avez une modification à faire sur vos votes, vous devez m'en informer par MP AVANT la modification.
    Merci de respecter le travail de ces personnes qui le méritent amplement. Les prochaines notes ainsi ne seront pas comptabilisées.


    Cordialement,

  • Création n°1 :
    Note : 8.5 / 10
    Commentaire : Tu as choisi de traiter le thème de manière assez classique et tu t'en sors plutôt bien. Ce n'est pas un reproche, après tout, quelle est la meilleure manière de traiter du sujet de la résistance qu'en montrant des gens s'élevant contre la tyrannie ? L'histoire est plutôt bien construite et agréable à suivre, malgré quelques fautes d'orthographe qui auraient dues être corrigées. Mais il y a certaines tournures de phrases qui m'ont perturbée.
    Chaque mot a sa signification propre et je trouve important de les utiliser de la manière la plus pertinente possible. En lisant ton texte, j'imagine un champ de bataille transformé en bourbier avec, comme dans les films, des combats épique à l'épée. Et les épées s'entrechoquent, certes, mais ne s'effleurent pas ( effleurer : Passer tout près de quelque chose; raser la surface de quelque chose sans l'entamer; toucher légèrement quelque chose.). Enfin, si, elles peuvent, mais ça change le sens. Après, je comprends bien que tu avais déjà utilisé le mot "entrechoquer" dans la phrase d'avant, mais peut-être qu'utiliser le mot "heurter" ou "percuter" aurait permis de mieux rendre la violence du combat. Pareil pour le sang trempé : le sang qui coule est forcément humide et liquide, et même si je comprends bien que tu fais référence à la pluie qui se mêle au sang, ça donne une impression de redondance. Un peu comme dire " la pluie liquide tombait sur les troupes". Pareil pour cette phrase "ainsi que mes longs cheveux humides de mes ennemis indiscrets. " Pendant la lecture, je me suis demandée à qui étaient ces cheveux, au final. Parfois, il vaut mieux présenter la phrase différemment pour être sûr qu'il n'y a pas d’ambiguïté. "Elle cachait des yeux de mon ennemi indiscret mon visage blafard ainsi que mes longs cheveux humides."
    Pareil dans cette phrase "Et pourtant, il ne s'agissait guère de son vrai prénom." : guère signifie "Presque pas ; presque rien" / "Guère indique une grande quantité ou le haut degré d'une qualité". Et pour le coup, cette nuance est malvenue. Soit c'est son nom, soit ça ne l'est pas, mais ça ne peut pas être "presque pas son nom".
    J'ai eu aussi un peu de mal avec cette partie "Le trône ne se trouvait plus très loin. Il me faisait à présent face. A la fois déconcertée et émerveillée, j'ai distingué les contours de sa silhouette à travers la pénombre. De son allure élégante, il s'est déplacé hâtivement dans un cône de lumière projeté par un vitrail. " Trop de "il", je me suis demandé si c'était le trône qui était élégant et qui, donc, s'était déplacé dans le cône de lumière. C'est stupide, je sais, mais la tournure de la phrase m'a laissé penser à ça :(. Après le "de son allure élégante", tu aurais parfaitement pu mettre "le tyran" histoire qu'il n'y ait aucun risque de se tromper.
    "le temple où j'avais trouvé des centaines de personnes défuntes" Là encore, le mot est correct mais il aurait été bien plus évocateur si tu avais parlé de personnes massacrées, on aurait saisi la nuance entre les gens morts naturellement et une tuerie. Et quant à la dernière phrase, je trouve que c'est dommage que tu aies choisi celle-là. Comme le tyran le souligne, elle ne vient ni pour postuler ni pour jouer aux cartes, donc on imagine bien que ça va se finir en baston avec, on l'espère, la mort du tyran. Et du coup, il risque de ne pas garder bien longtemps le visage de l'héroïne gravée dans sa mémoire. Tu aurais peut-être pu terminer par "Pour qu'il voie le visage de la résistance." histoire de boucler le thème, ou "Pour qu'il voie qui ose combattre sa barbarie", ce genre de chose.
    J'ai encore fait un pavé, désolée, et je sais que ça peut sembler dire que tu n'as pas fait un bon texte, ce qui n'est pas le cas. Disons que c'est plutôt comme si tu avais planté toutes tes flèches dans la partie rouge d'une cible, passant à un cheveu du centre. C'est un très bon texte mais ces petits détails font que ce n'est pas un excellent texte.



    Création n°2 :
    Note : 7 / 10
    Commentaire : Je vais être moins sévère que les précédents votants parce que je trouve que ton texte est plutôt original. On ne parle pas là de la résistance armée, à combattre un tyran ou une dictature, mais d'une résistance quotidienne. C'est presque une private joke de geeks et c'est plutôt sympa comme manière de traiter le sujet. Bon, après, le texte est un peu confus. Tu as voulu entretenir le mystère de l'identité du personnage principal jusqu'au bout, ce qui rend la compréhension un peu délicate. Je n'ai notamment pas compris qui était ce "elle" donc tu parles au début. La machine ? Pourquoi pas l'ordinateur ? L'OS ?
    Je ne vais pas faire de pavé parce que j'imagine que tu es déjà assez déçu de voir que nous passons à côté de ton texte. Je vais juste te conseiller, pour les prochains textes, de faire attention à garder les choses compréhensibles même si tu veux garder une part de mystère. Et surtout, ne baisse pas les bras. On a tous fait des textes qui n'ont pas été compris, moi la première, et après avoir beaucoup râlé contre les lecteurs qui ne comprennent rien à rien, j'ai bien dû admettre que certaines choses étaient un peu trop confuses pour être clairement comprises. C'est une étape difficile mais importante de la progression, parce qu'on apprend de nos erreurs et on essaie ensuite de ne pas les reproduire. Je ne sais pas lequel de vous deux a écrit ce texte, mais je sais que tu t'en sors beaucoup mieux d'habitude. Vois ce texte comme un incident de parcours, pas comme un mur infranchissable dans lequel tu te crashes sans pouvoir repartir ensuite.

    23912610.png
    Donnez-moi du chocolat, et tout le monde s'en sortira vivant
    21532210.jpg